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 tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce)

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MessageSujet: tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce)   tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce) EmptyMar 20 Mai - 18:39

i'm nothing without you.

La porte claque.
Il m'énerve. Je ne le supporte plus. Pourquoi mon père cherche-t-il tant à se dresser sur mon chemin ? Pourquoi souhaite-t-il vainement me réorienter vers une carrière plus conventionnelle, plus ennuyante, qui, certes, m'assurerait un très bon salaire, mais m'enfermerait dans un bureau pendant des journées entières ? Il sait très bien que ce n'est pas ce que je veux. Et pourtant, il s'acharne. Il pense qu'il aura le dernier mot. Parce qu'il l'a toujours eu. Mais depuis que maman n'est plus là, depuis que la maladie l'a emportée, il ne l'aura plus. Je me le suis juré. Je ne laisserais plus ce richissime homme d'affaires contrôler ma vie. Je veux avoir les cartes de mon destin en mains, quoi qu'il en coûte. Et, par dessus tout, je veux voler de mes propres ailes. Faire mes propres choix. Décider ce que je veux faire, ou je le souhaite, quand je le veux. Et il ne m'en empêchera pas. Avant le déménagement, si je n'étais pas le fils rêvé, je n'entretenais pas des relations si tendues avec mon père. Il était peu présent. Et lorsqu'il était à la maison -notre immense et magnifique maison au bord de la plage- j'étais souvent dehors, avec mes amis. Alors, je n'avais pas à le supporter. Je n'ai jamais vraiment été en total accord avec ses idées. Il part du principe que je dois honorer la famille en suivant de longues et glorieuses études, me trouver une femme, catholique, de préférence, même si je ne suis pas croyant, et avoir de beaux enfants. Exactement comme lui l'a fait. Ainsi que son père. Son grand-père. Et tous les autres hommes Delacruz. Je trouve ça assez pathétique. Et malgré toutes les disputes, tous les regards négligents, toutes les fausses images qu'ils ont tous de moi, je suis fier d'être l'exception qui brisera la règle. La règle de l'argent, de la gloire, de la renommée. La règle Delacruz.
Les écouteurs fixés dans les oreilles. Bob Marley en boucle. Mon pied tape sur le sol, alors que, adossé contre l'arrêt, j'attends mon bus. J'écoute beaucoup de reggae. Un certain moyen de me détendre. De m'opposer d'une autre façon à mon père. J'ai du mal à comprendre pourquoi chacun de mes faits me rapporte, même inconsciemment, à cet homme que j'ai pourtant décidé d'ignorer. A croire qu'il est sûrement plus important que je ne le pense. Ma mère l'aimait. Et il aimait ma mère. C'est sûrement pour cela qu'il refuse d'aborder ce sujet sensible, avec n'importe quel interlocuteur. Qu'il semble avoir tracer un trait sur elle. Parce qu'il l'a trop aimé, parce qu'il l'aime trop. Et que ça fait beaucoup trop mal. Je vois ce rictus grimaçant à chaque fois que je prononce malencontreusement son nom, cet air mi-agacé, mi-absent, quand je fais une quelconque allusion, indirecte ou non. Elle lui manque.
J'ai besoin de me rendre à la salle de danse. De retrouver ces grands miroirs et ce parquet. Presque tous les jours je m'y rends, que ce soit seul, avec le groupe ou bien des amis, je ressens toujours l'envie d'enfiler un jogging et de bouger mon corps en harmonie avec la musique. Souvent, je me déchaine sur du hip-hop. Ma spécialité, disons. Plusieurs fois, on m'a dit que je suis vraiment doué. Je ne sais pas si je dois y croire. J'ai pas vraiment une très bonne estime de moi. Alors je préfère ne pas juger mes performances. Ou du moins, pas mes danses. Car pour le reste, je me réserve le droit de ne pas être satisfait de ce que je fais. Et c'est d'ailleurs bien trop souvent. Mais que voulez-vous. Il faut toujours viser le meilleur, l'excellence. C'est bien une valeur que ma mère a tenté de me transmettre, et que j'ai retenu. Je ne suis pas là pour perdre. Je ne vis pas pour être en bas de l'échelle.
J'arrive à la salle. Entre deux rues passantes très actives, elle est bien située. A deux minutes de marche d'un arrêt de bus, je n'ai aucun problème pour y accéder, et le trajet est rapide. Heureusement, j'ai envie de dire. Je croise un trio de trois jolies filles de mon âge. Instinct masculin oblige, je les toise de haut en bas avec un léger sourire amusé dessiné sur les lèvres. Je relève les yeux, croise le regard de la brune. Je suis plutôt un charmeur, c'est vrai. J'aime les filles. Les filles m'aiment. Et j'en profite, disons. Je continue ma route sans me retourner. Je ne suis pas non plus du genre à me jeter sur chaque jolie fille que je vois. Et encore, ce visage se dessine dans mon esprit. Non, va t'en, s'il te plait. Ça fait déjà assez mal comme ça. Ses yeux noisettes me fixent, et je n'arrive pas à les lire. C'est rare. Je la connais pas cœur. Sa chevelure brune balaye l'air, le fend dans des demi-tours réguliers. Elle est si belle.
Stop. Tais-toi, Drew.
Elle n'est plus à toi. Elle en a décidé ainsi.
Même si au fond, je ne l'accepte toujours pas.
Il y a de la musique, à l'intérieur. De la bonne musique. Si ma première intention était de me retrouver seul avec mes mouvements et ma passion, au final, je ne suis pas si mécontent de trouver du monde. Surtout s'il s'agit de Jay, ou bien de Carly. Deux amis, que j'ai rencontré ici, et que j'ai l'habitude de croiser. Je n'aime pas la solitude. Le désespoir, la tristesse. Pas vraiment pour moi. Même si j'ai mes instants de nostalgie. De douleur. De souffrance morale. Je n'aime pas ça. J'ai toujours été un garçon très sociable, j'aime la compagnie de personnes qui me ressemblent, avec qui j'ai des points communs. Et danser à plusieurs est toujours une expérience inoubliable, autant pour le sport que les relations humaines. C'est le sourire aux lèvres que je m'engage dans le hall, d'où, grâce à une fenêtre donnant sur la salle de danse, je peux découvrir l'identité de la personne qui occupe la pièce. Je me fige.
Merde.
Joyce.
Respire, Drew.
Tout de suite, je me sens comme hypnotisé par le corps de la jolie brune. Celle qui hante mes rêves. Qui me rend complètement fou. Qui occupe mon esprit à longueur de journée. Et que je n'arrive pas à sortir de la haut. Trois semaines que nous ne sommes plus ensemble, et déjà deux que je n'ai pas revu son visage angélique. Ça m'effraie et me rend vraiment heureux de la revoir. Comme chamboulé, je décide d'attendre que la chanson se termine avant d'entrer. Elle ne m'a pas encore remarqué, et c'est tant mieux. Ainsi, je peux encore l'admirer en toute discrétion, sans éveiller ses soupçons. Elle danse vraiment bien. Et je me souviens des nombreux moments qu'on a partagé ensemble, ici, pendant de longs mois. Elle me manque. Terriblement. La musique s'arrête. Elle arrête de danser. C'est le moment ou jamais.
« Salut. » Je déclare après avoir refermé la porte. Je sais qu'elle ne s'y attendait pas. Elle m'évite, depuis notre rupture. Je l'ai bien senti. Je lui adresse un mince sourire, fuyant son regard. « Tu danses toujours aussi bien.. » Je ne sais pas si je dois m'excuser ou bien me taire. L'embrasser, lui faire la bise ou bien rester à ma place. Allumer ma musique ou la laisser continuer. Perdu. Je suis totalement perdu.
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S-M. Joyce Osborn
▲ IN LOVE DEPUIS : 27/04/2014
▲ POSITIONS TESTÉES : 772
▲ AVATAR : « selenawesome gomez. »
▲ AMOUREUX/SE? : « être amoureuse peut-être à la fois la chose la plus magnifique au monde, comme la plus horrible. »
▲ JOB/ÉTUDES : « étudiante en danse, oui, y'a pas que les strip-teaseuses qui danse pour le plaisir. »
S-M. Joyce Osborn
regard fougueux.
MessageSujet: Re: tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce)   tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce) EmptyMar 20 Mai - 20:03

i'm nothing without you.

Les jours passaient si lentement, je ne savais plus quoi faire, effrayer par le bruit du vent et le parquet qui grinçait je me méfiais de tous désormais sans même savoir la raison, j'avais juste peur sans raison particulière et je détester me sentir faible et vulnérable ainsi. Cela faisait quelque jour déjà que je n'arrivais pas à me divertir, que je ne voyais plus mes amis ni même les membres de ma famille. Enfermée dans la maison que j'avais mis du temps à me payer, je pensais au passé. Au temps où mes parents me payer absolument tout sans exception, ou il choisissez mes fréquentations et m'inscrivait dans les établissements privé où seul les enfants d'homme et de femme dit "riche et bourgeois" s'y rendais et surtout à lui.. il me manquait tellement, je pensais constamment à lui, nous avons tellement traversé ensemble, je me souvent de chaque baisers échanger dans cette maison, de chaque fois qu'il me faisait l'amour et que je restais là à apprécier ses moindres fait et geste, je me sentais tellement mal.. les larmes n'étaient plus les bienvenues chez moi, j'en avait trop versée lorsque je l'avais aperçus en train de flirter avec cette garce, comment a-t'il pu ? j'avais passer des jours sans me nourrir à pleurer toute l'eau que mon corps possédait jusqu'à en perdre connaissance. J'étais une fille de caractère, une fille sachant se qu'elle désir et confiante mais.. une fois amoureuse je devais différente, et cette relation m'a prouver que je ne pouvais compter sur personne même sur celui qui autrefois faisait mon bonheur et mon sourire. [...] Assise sur le canapé avec une petite couverture couvrant à demi mes jambes, mon regard fixé sur la télé qui changeait sans arrêt de chaine j'essayer de me changer les idées une fois de plus, en cette journée ensoleillé à St. Peterburg. Je me sentais fatigué et émotive aujourd'hui cela faisait quelques jours que j'avais décider de reprendre des nouvelles du monde extérieur en retournant danser et à refréquenter mes amis de nouveau comme avant, ma meilleure amie m'avait conseiller d'oublier Drew, mais comment oublier l'homme de sa vie ? tel était la question, je ne voulais pas rester bloquer sur une relation alors qu'à mon avis, lui, avait déjà tournée la page pour sortir avec une fille qui devait être beaucoup plus regardable que moi. Assez de rester assise sans rien faire, je me leva d'un bon éteignant la télé pour me diriger vers l'immense salle de bain où j'allais agir en maître pour reprendre des couleurs et peut-être retrouvé le sourire une fois dehors, quatorze heures était afficher sur l'horloge, à cette heure-ci il ne devait y avoir personne c'est une occasion en or pour m'exercer de nouveau et m'améliorer d'avantage sur une chorégraphie qui, au départ, était en binôme mais je du la changer pour me l'adapter à moi seule. « Aller Joyce, sourit et montre au monde à qu'elle point tu es jolie. » me dit-je à moi même en regardant le miroir, maquillage en main. Je me repoudra légèrement le nez sans oublier de crayonner mes yeux et un coup de rouge à lèvre avant d'enfiler un jogging rapidement et un haut laissant mes formes hors de porter, restant tout de même féminine. Je pris d'une main ferme mon sac de rechange et me dirigea vers la porte d'entrée avant d'inspirer un bon coup, le sourire. J'ouvra la porte avant de sortir, écouteur dans les oreilles écoutant les sons que je serais prête à étudier prochainement avec peut-être un nouveau partenaire ? cela me faisait le plus grand bien d'inspirer de nouveau des grands bols d'airs frais, la salle de danse ne se trouvait qu'à quelques minutes de chez moi à pied, près des côtes des grandes plage floridiennes elle était très populaire et beaucoup fréquenter par les gens de toute âge et nous étions tous comme une grande famille, cela me faisait du bien de retrouver dès l'entrée du bâtiment des gens que je connaissais et que j'appréciait beaucoup depuis de nombreuse années maintenant. « Holà mes amours! » dit-je en les saluant, leurs faisant la bise adressant à l'un d'entre eux un sourire timide et charmeur, évidement du flirte.. un simple flirte. Je pris la direction des marches prête à commencer à bouger mon corps au son de la musique. [...] Une fois entrée dans la salle, je pris soin de m'étirer avant d'allumer la musique continuant mon entraînement pour pouvoir enfin commencer à danser, beaucoup pensent que la danse n'est qu'une activité mais non, c'est tout un art et il faut dès années pour la maîtriser et encore, nous en apprenons tous les jours. Je fais de la danse depuis toute petite, je me souviens avant je devais me cacher pour ne pas que mes parents me voient danser, ils disent que la danse ne mènera à rien et que seul les calculs et les études nous aiderons à remplir le porte monnaies, mais je ne voulais pas devenir une de ces femmes totalement soporifique qui nous parles au téléphone ou dans le métro, non, je voulais marquer mon passage sur terre, comme Michael Jackson! être une danseuse connue et copier dans le monde entier, ça ce serait cool. Quelques minutes plus tard je pris place devant le miroir avant de me laisser emporter par la musique au rythme torride et sensuelle, me faisant bouger mes formes dignement, je pouvais plus m'arrêter, une fois lancer je dansais jusqu'au dernières notes de la musique. Je fis des mouvements de hanches et fit basculer ma chevelure d'un geste souple et confiant laissant mon corps bouger au pulsation de la musique. Les minutes passaient et la musique décida enfin à mettre fin à son tempos je m'arrêta peu à peu, essoufflé avant de me laisser tombée doucement sur le sol face au miroir, m'observant. « Salut. » une voix familière se fit entendre derrière moi tandis que mon rythme cardiaque s'accéléra en l'entendant, je tourna doucement ma tête essayant de voir si, oui ou non, j'allais devoir me renfermée chez moi durant des jours. A ma grande surprise, mes battements avaient eu raison d'être et je me leva subitement en voyant le visage de Drew, l'homme qui, encore aujourd'hui faisait battre mon coeur. « Tu danses toujours aussi bien.. » je ne répondis pas à ses paroles, le laissant m'observer, je fis de même en m'empêchant de regarder ses légère fossette se dessiner sur son visage, cela me fit frissonner rien qu'en le voyant. Je détourna rapidement le regard avant de prendre ma serviette disposer sur une chaise près des miroirs avant de la mettre sur mon épaule, prenant ensuite rapidement mon sac le disposant ainsi sur mon épaule. « J'ai fini de toute façon, la salle est à toi. Amuse toi bien. » dit-je en tournant les talons d'un air froid avant de me diriger vers la porte de sortie prête à rentrée chez moi pour m'enfermer sous mes couettes durant deux à trois ans.  


ouvre, y'a des strip-teaseuses:
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MessageSujet: Re: tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce)   tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce) EmptyMar 20 Mai - 20:59

i'm nothing without you.

Trouver quelque chose à dire.
Trouver quelque chose d'intelligent à dire.
Comme c'est compliqué, l'amour. Enfin, si on peut encore appeler ça de l'amour, entre Joyce et moi. Évidement que je l'aime. Que je tiens à elle plus qu'à n'importe qui. Qu'elle est la plus importante à mes yeux. Mais croyez-le ou pas, je suis assez crétin pour rester figé devant elle, avec des tonnes de maux sur le cœur que j'aimerais cracher au monde entier, cracher à la vie, cracher à ces sentiments refoulés. Elle me manque, j'ai besoin d'elle. J'ai besoin d'elle. Chaque mot, chaque syllabe raisonne dans ma tête en écho. J'ai besoin d'elle plus que n'importe qui. Ses bras, ses lèvres, sa voix me manquent. J'aime glisser ma tête dans le creux de son cou, lui susurrer des mots à l'oreille, attraper délicatement sa main, la serrer fort dans la mienne, pour lui prouver que je l'aime, pour lui prouver qu'elles ne se quitteront pas. Pouvoir capturer ses lèvres à n'importe quel moment. Enrouler mes bras autour de sa tailler et resserrer mon étreinte sans gêne. Tant de petites attentions qui me titillent, semblent m'appeler, mais que malheureusement, je ne peux qu'espérer.
Je m'inquiète pour elle. Son teint est pâle. Des cernes arpentent le haut de ses joues. Elle semble fatiguée, comme si avec mon arrivée s'abattait sur elle un poids dont elle avait tant bien que mal réussi à se débarrasser. Je me sens coupable de son malheur, coupable de ses problèmes. Je n'aime pas la voir triste, et cette flamme au fond de moi me pousse à m'approcher, lui attraper le bras, la regarder dans les yeux, lui dire le fond de ma pensée. Mais je n'y arrive pas. Fierté ? Honneur ? Peur ? Je ne sais pas, je ne veux pas savoir. C'est plus fort que moi, et ce regard haineux qu'elle m'adresse me brise. Elle m'en veut. Beaucoup.
S'il n'y avait pas eu cette fille, on en serait pas là. C'était un Samedi, en fin d'après-midi. Je donnais un cours de danse, à une débutante en hip-hop. Elle était jeune et jolie. Blonde et petite, musclée mais bien formée. Carrément l'opposé de Joyce. Pas trop mon style de fille. J'ai toujours préféré les brunes, au teint mâte. Avec de beaux yeux foncés, on se perd dedans. Cette fille, je lui plaisais. Je l'ai vu dans son regard. Après tout, je plais à beaucoup de filles, ça ne m'a pas vraiment étonné. Je ne me souviens même plus de son prénom. Peut-être Lola, ou Sarah. Elle était audacieuse, celle-là. Un peu plus que les autres. Elle se collait, sensuellement, me regardait, malignement. Pensant que je tomberais dans le piège. Je suis un garçon fidèle. Pas un autre connard du genre. Elle dansait plutôt bien, c'est vrai. Pas autant que Joyce. Mais elle se débrouillait, pour une débutante. Elle a bien aimé, surtout le professeur, car à la fin, elle m'a embrassé. Sur le coup, je n'ai pas réagi. J'ai été surpris. Et vraiment, je ne m'y attendais pas. C'est là que les ennuis ont commencé. Parce que je n'ai vraiment pas de chance, c'est à ce moment là que Joyce a ouvert la porte. Elle nous a vu. J'ai juste eu le temps de voir son visage se décomposer. Lire le dégout, la surprise, l'incompréhension dans son regard. Et elle est repartie aussi vite qu'elle est arrivée. Je pleurais, je crois. Sûrement. Moi non plus, je n'aurais pas aimé. Et le garçon qui aurait osé embrassé ma copine aurait passé un sacré quart d'heure. Elle a mis un terme à notre relation. Je n'ai jamais revu cette blonde. Et j'ai perdu ma copine. Pardon ; la femme de ma vie.
Joyce m'annonce qu'elle a fini, que la salle est à moi désormais. Elle m'adresse un regard froid, fait demi-tour, s'apprête à quitter la salle. J'hésite un instant. Non, je ne peux pas la laisser partir ainsi. Ce serait trop lâche. « Attends ! » Elle s'arrête, je sens les battements de mon cœur s'accélérer. Qu'il se calme un peu, celui-là. Je respire, soulagé. J'ai peut-être encore ma chance de pouvoir m'expliquer. Je m'avance de quelques pas dans sa direction, relève le regard. J'aime regarder les gens droit dans les yeux quand je leur parle. Preuve d'un certain courage. « Ecoute, Joyce.. Cette fille, là, elle m'a pris par surprise. Je ne voulais pas. » Je me mordille la lèvre inférieur. Maintenant, il faut avoir l'air un minimum crédible. Elle doit comprendre que je suis honnête. « Si je ne tenais pas à toi, je t'aurais laissé partir. Je ne mettrais pas cte fierté de côté pour tenter de t'expliquer. Si je ne tenais pas à toi, je ne serais pas là comme un con à te parler. Je t'assure. »
Crois-moi, Joyce.
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S-M. Joyce Osborn
▲ IN LOVE DEPUIS : 27/04/2014
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▲ JOB/ÉTUDES : « étudiante en danse, oui, y'a pas que les strip-teaseuses qui danse pour le plaisir. »
S-M. Joyce Osborn
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MessageSujet: Re: tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce)   tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce) EmptyMer 28 Mai - 16:36

i'm nothing without you.

j'étais terroriser pour des raisons que moi-même j'ignorais et cela n'avais le don que de me faire de plus en plus peur, plus les jours passais et plus je me sentais vulnérable et incomprise, je perdais la confiance que j'avais mis tant de temps à avoir, perdre confiance en moi est une chose horrible je ne voulais pas de nouveau retourner au placard dans l'ombre, j'avais réussi à devenir une femme forte et je m'assumais totalement mais.. depuis que je l'ai vue, ses lèvres contre les siennes sans qu'il ne réagisse, je me dis que c'était évident, évident pourquoi un garçon comme lui, aussi beau et talentueux resterais avec une femme comme moi ? j'y réfléchissais depuis dès semaines sans trouver réponse à mes question, ça me terrorisait de jour en jour et je me sentais faible, renfermer sur moi-même. [...] J'allais à plier bagage pour sortir rapidement de cette pièce pour rejoindre rapidement la maison qui était mienne depuis l'héritage de mon père, la maison qui a mes yeux, était une prison où je pouvais m'évader la nuit pour revenir à l'aube. « Attends ! » me dit-il avant de s'approcher doucement de moi, je sentais mes mains trembler de peur à l'idée que nos regards allaient de nouveau se recroiser pour la première fois depuis tant de temps. « Ecoute, Joyce.. Cette fille, là, elle m'a pris par surprise. Je ne voulais pas. » un rire jaune s'échappa de mes lèvres avant de croiser mes bras sur la poitrine, preuve de respect je le laissa finir, son regard plongé dans le mien je sentis une flamme en moi qui.. je le croyais, était éteinte, visiblement pas. « Si je ne tenais pas à toi, je t'aurais laissé partir. Je ne mettrais pas cte fierté de côté pour tenter de t'expliquer. Si je ne tenais pas à toi, je ne serais pas là comme un con à te parler. Je t'assure. » je pouvais sentir mon coeur battre dans ma poitrine et mes poiles se hérisser au son de sa séduisante vois, mon regard plongé dans ses yeux noisettes j'étais en train de me laisser envouter, non ! pas ça, malgré le fait qu'il en ai embrasser une autre c'est vrai qu'il avait toujours était honnête avec moi, mais je ne savais plus quoi pensée. Je le regarda avec méfiance, sourcil froncée. « Elle t'a pris par surprise ? comme par hasard au moment où j'entrais dans la pièce n'est pas ? laisse moi rire Drew, pourquoi ? tu aurais dût directement me dire que tu voulais coucher avec une blonde! je l'aurais compris, plus belle.. plus.. doué sûrement ? elle danse bien ? et je te parle pas uniquement en classe. » je le regardais froidement, me sentant extrêmement blessé, je me mis d'un coup à pleurer. « Je croyais que tu m'aimais !.. je le croyais.. » je fis rapidement un geste des mains pour essuyer les larmes qui allait me trahir, malheureusement ma voix l'avait déjà fait, d'une main soudaine je poussa la porte de la salle de danse espérant lui échapper et pouvoir pleurer en paix dans se monde pleins de rêves oublier.
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MessageSujet: Re: tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce)   tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce) Empty

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tiens, c'est de l'amour. promis, cette fois-ci, ça ne te fera pas mal. + (droyce)

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