Les amours de vacances finissent pour toutes sortes de raisons mais au bout du compte, elles ont une chose en commun. Ce sont des étoiles filantes, lumières tout à fait spectaculaires venues des cieux, un fugace aperçu de l’éternité qui disparaît en un éclair. Emy & Peter

New-York. La grosse pomme, la ville lumière, cette belle et merveilleuse ville dont tout le monde rêve. Merci papa pour ce voyage qui me permet de visiter et de voir de mes propres yeux les magnifiques bulding plus grand les un que les autres. Moi qui ai toujours rêvé de grimper aux derniers étages de l’Empire State Bulding, j’étais ravie ! Cela faisait maintenant quelques jours que j’étais à NY dans un but scolaire à la base, mais aussi pour me changer les idées. Cela ne me déranger pas d’être seule pour ce voyage, j’ai toujours été un peu solitaire et timide. Au moins je pouvais faire ce que je voulais sans avoir ma famille sur le dos. Bien que je les aime plus que n’importe quoi dans ce monde. Le sourire aux lèvres, je sortais de l’Empire State Bulding où j’avais passé près de 3 heures à observer NY d’en haut. Je tenais à la main un cahier de dessin dans lequel je m’étais fais un plaisir de reproduire la vue que m’offrait cette position. J’étais rêveuse et distraite alors que les rues de NY étaient bondées de monde. Je décidais d’entrer dans un café pour commander un cappuccino histoire de me requinquer un peu.

Le café et mes dessins en main, je sortais du café en buvant une petite gorge, lorsque mon téléphone sonna. Surprise, j’essayais tant bien que mal de récupérer mon téléphone au fond de mon sac sans rien faire tomber. Mais il ne faut pas trop m’en demander, j’ai toujours été maladroite. Ni une ni deux j’ai foncé droit sur un homme laissant tomber mes feuilles et mon café. « Nonnnnn qu’elle idiote ! » Mon café s’était complètement renverser sur mes dessins, je me baissais rapidement pour essayer d’en sauver quelques un tout en m’excusant auprès de la personne que j’avais heurté sans même encore avoir vu son visage. « Excusez moi vraiment, j’suis un peu maladroite. Vous n'avez rien ? » Je relevais la tête pour le regarder d’un air désolé et tomba nez à nez avec ses yeux, magnifique.

Les amours de vacances finissent pour toutes sortes de raisons mais au bout du compte, elles ont une chose en commun. Ce sont des étoiles filantes, lumières tout à fait spectaculaires venues des cieux, un fugace aperçu de l’éternité qui disparaît en un éclair. Emy & Peter

Les oiseaux qui siffles, le soleil brillant au dessus des nuages quasiment inexistant et un léger brun d'été qui s'échappait du vent nous faisait ressentir cette sensation de bien être nous indiquant que l'été ne devrait pas tarder à pointer le bout de son nez, New-York, la ville des plus grands, là où tu devient quelqu'un en faisant quelque chose qui sera reconnue et apprécier à sa juste valeur. Cela faisait quelque jours que je venais de revenir à New-York après avoir déménager à Miami pour une vie moins risqué et surtout pour payer moins le loyer et les impots qui me pendaient au nez. L'air pollué de la ville et le bruit insupportable des voitures coincer dans les embouteillages m'avaient manquer, là où je suis maintenant il n'y a que des oiseaux qui chantent et le bruit de la mer proche de ma fenêtre, pas de bruit désagréable comme à Central Park, les enfants qui crient et les animaux qui puent. Je venais de faire un tour dans ce magnifique parc qui avaient la réputation digne d'un président de la république, j'avais profiter de l'occasion pour prendre quelques photos en souvenir au cas ou je n'aurais plus l'opportunité de revenir déjà qu'aujourd'hui c'est une chance inouï si je suis ici alors je préfère conserver le peu de souvenir que je vais avoir. Mon appareille photo autour du cou, mes lunettes de vue sur le bout de mon nez je me mis à marché en direction de la sortie du boulevard tel une âme perdu, je ne savais pas où aller seulement avoir un cliché à prendre en photo, mais pas n'importe lequel je chercher LE cliché qui changera du tout au tout ma carrière qui.. n'a pas encore vue le jour, ne perdons pas espoir.

Les rues bombées de la ville étaient surprenantes, il y avait presque plus d'oxygène pour respirer et dieu seul sait à qu'elle point le monde est grand. Je pense que je n'ai jamais vue autant d'être humain de ma vie. Je regardais à droite, puis à gauche en recherche de cliché potentiel que je pourrais prendre en photo pour en faire une prochaine art, sûrement, mais actuellement j'étais au point mort. Les pigeons volaient au dessus de ma tête au passage des touristes surexcités qui passaient en courant en direction des nombreux cafés présents su place, une fille cria ce qui détourna mon attention. Qu'avez-t'elle ? je ne savais pas, à peine eu-je le temps de retourner ma tête que je percuta quelqu'un et fit renversé son café ainsi que ses nombreux papiers qui, une fois au sol, commençaient à faire trempette dans le café. « Nonnnnn qu’elle idiote ! » je me mis rapidement accroupi entendant la voix de la jeune demoiselle, c'était donc une demoiselle. Je n'avais jamais commis d'erreur aussi grossière avant cela, ça m'apprendra à ne pas regarder devant moi!  « Excusez moi vraiment, j’suis un peu maladroite. Vous n'avez rien ? » j'essayais tant bien que de mal à ramasser les dessins de la jeune demoiselle sans avoir eu le temps de m'excuser, je me sentais mal à cause de ma maladresse les créations de celle-ci étaient totalement fichu. Ils étaient beau, digne d'une artiste. « Oh seigneur je suis vraiment désolé. » dit-je avant de levé le regard vers elle, mon regard se posa sur les yeux vert myosotis de la jeune femme, elle était très.. belle, quelques secondes passèrent avant que je ne revienne à la réalité, elle n'était pas belle non, elle était magnifique. « Je.. pardonnez-moi, je m'en excuse vraiment je ne regardais pas où j'allais. » je me mis à bégayer soudainement avant de reprendre mon calme doucement, tendant à la demoiselle les dessins que j'avais pu sauver du déluge. « Vous êtes très doué. » achevais-je en posant mon regard sur les dessins dessiner avec soin et fougue sur une feuille de papier simple, c'est dingue ce que les gens peuvent faire avec un crayons et un support. « Je suis vraiment désolé d'avoir gâcher vos oeuvre, c'est idiot je viens aussi de vous faire perdre votre déjeuner. » malgré le monde, il était à peine dix heure du matin et maintenant les restaurants étaient bombées de monde. « Je m'appelle Peter, Peter Wennings. Voilà comment les gens se rencontrent à New-York. » dit-je en riant doucement et tendant ma main doucement vers elle, sans quitté son regard des yeux. De ma vie je crois bien que je n'ai jamais vue de femme aussi magnifique, ses cheveux blond lui tombaient en cascades sur les épaules et ses yeux vert perçant attirait le regard de tout ceux qui s'adressait à elle. Une journée qui s'annonce bien, je dois dire.

Les amours de vacances finissent pour toutes sortes de raisons mais au bout du compte, elles ont une chose en commun. Ce sont des étoiles filantes, lumières tout à fait spectaculaires venues des cieux, un fugace aperçu de l’éternité qui disparaît en un éclair. Emy & Peter

Alors que je tentais de ramasser mes dessins suite à la collision que j'avais eu avec un jeune homme; je relevais la tête afin de m'excuser de nouveau face à lui. Mais je n'ai pas eu le temps d'en dire plus, perturbée par son regard, je le laissais ramasser le reste de mes croquis.« Oh seigneur je suis vraiment désolé. » Je secouais la tête tout en répondant à mon tour « Non vous n'y êtes pour rien c'est moi... ». Je remarquais son appareil photo qui pendait autour de son coup. Peut-être était-il un simple touriste comme moi. Je me redressais afin de ne pas rester au sol comme une idiote, en lui adressant un petit sourire. J'étais mal à l'aise de l'avoir bousculé d'une telle manière, il est vrai qu'il y avait de meilleur façon de faire une rencontre. « Je.. pardonnez-moi, je m'en excuse vraiment je ne regardais pas où j'allais. » Je souriais une nouvelle fois au jeune homme en face de moi qui s'excuser une fois de plus. Pourtant c'était ma faute, je n'ai pas l'habitude des grandes villes bondés de monde, tous plus pressé les uns que les autres. En tant normal, je baisserais la tête en m'excusant une fois de plus avant de m’éclipser le plus vite possible, beaucoup trop timide pour affronter un inconnu. Mais pas cet fois. Je me suis promis de prendre confiance en moi et de profiter de la vie. Alors pourquoi ne pas en apprendre plus sur ce charmant jeune homme,après tout le hasard fait peut-être bien les choses. « Vous êtes très doué. » Oh non, mes joues commençaient à rougir juste avec ce petit compliment. Je me grattouillais le nez, signe que j'étais gêner,avant de sourire en récupérant les quelques dessins qu'il avait ramassé. « Merci, j'essaye en tout cas. » ajoutais-je d'un air amusé. Il semblait gentil et je n'arrivais pas à le quittais des yeux. En effet, l'attraction de New-York semblait s'être calmé autour de nous, comme s'il y avait moins de monde et moins de bruit tout à tout. J'en oublierais presque que la moitié de mes dessins avaient plongé dans mon café fraîchement commandé. « Je suis vraiment désolé d'avoir gâcher vos oeuvre, c'est idiot je viens aussi de vous faire perdre votre déjeuner. » Je sortais de mes pensées pour regarder la belle tâche de café sur le sol, avant de lui répondre d'un air amusé. « Oh oui le   café, c'est pas grave. J'avais pas si soif que ça en fait. » Je riais légèrement de la situation. Un café n'est qu'un café. Je n'avais qu'à aller en chercher un autre si j'en avais envie. « Je m'appelle Peter, Peter Wennings. Voilà comment les gens se rencontrent à New-York. » Je riais de nouveau légèrement avant d'afficher un grand sourire et de lui tendre la main à mon tour pour le saluer.

Ce voyage était peut-être réellement une bonne idée pour moi après tout. Ce Peter avait certainement raison, les rencontres à New-York n'ont rien à voir avec celle d'une petite ville. Inattendu et de nature exceptionnelle, c'était le moment pour moi de ne plus réfléchir et de laisser les choses se faire toute seule. Je répondais à mon tour, tout sourire. « Plutôt cool comme rencontre Peter, je devrais jouer la touriste plus souvent. Moi c'est Emy Holmes, ravie de faire votre connaissance.  » Je replaçais par la suite mes cheveux derrière mon oreille en me mordant les lèvres. Mon père m'avait pourtant dit que les Newyorkais étaient pressés et qu'aucun d'entre eux ne prendraient le temps de répondre à mes questions, ou de mes guidés dans les immenses rues de la ville.En effet, déjà deux jours dans cette ville et Peter est la seule personne qui déniait m'adresser la parole plus de 30 secondes. De ce fait, je devais trouver quelque chose à dire pour ne pas le laisser filer pour me retrouver à nouveau seule. Habituellement je ne me montre pas entreprenante avec les gens, encore moins avec les hommes. Mais je me devais de parler avant qu'il ne reparte. Alors, je dis subitement « Hum, tu connaîtrais pas un endroit plus... calme ? J'veux dire, cette ville ne s'arrête jamais pas vrai ? » Un sourire vint s'afficher sur mon visage, une fois de plus.